lundi 17 février 2014

ICARE, en tournée au Québec dès le 28 février!

Crédit: Yves Renaud, sur la photo: Renaud Lacelle-Bourdon



[…] très beau texte d’Olivier Kemeid qui réussit à transposer le mythe grec dans notre monde actuel. Jean Siag, La Presse

Un univers théâtral éblouissant ! […] tout simplement renversant […] la mise en scène est spectaculaire.
Louise Bourbonnais, Le Journal de Montréal

Renaud Lacelle-Bourdon… un acteur incroyable… Un spectacle fabuleux.
Franco Nuovo, Dessine-moi un dimanche, Ici Radio-Canada Première

Des tableaux absolument inoubliables… À voir au TNM.
Francine Grimaldi, Samedi et rien d’autre, Ici Radio-Canada Première

La technologie se déploie et nous impressionne…
Émilie Perreault, Puisqu’il faut se lever, 98,5 FM

Une pièce captivante… Renaud Lacelle-Bourdon est magnifique… Julie Yacoub, Rouge café weekend, Rouge FM

La magie opère… La mise en scène de Lemieux et Pilon assure… Mélanye Boissonnault, Le 15-18, Ici Radio-Canada Première

C’est vraiment époustouflant … une pièce incontournable… Je la recommande !… Thérèse Parisien, Montréal Maintenant, 98,5 FM

mercredi 5 février 2014

Photos du lancement du 30e anniversaire de la compagnie!

Au Studio ARTV

Nathalie Bondil, Zoë Beaudry, Bénédicte Décary

Michel-Marc Bouchard, Luc Boulanger, Lorraine Pintal, Annie Gascon

Michel Lemieux et Victor Pilon



Entourés de nos partenaires, collègues et amis, nous avons lancé les activités célébrant 
les 30 ans de création de Lemieux Pilon 4D Art.

30 ans plus tard et toujours à l’avant-garde


 Le tandem Lemieux et Pilon célèbre trois décennies de création

28 janvier 2014 | François Lévesque | Actualités culturelle

Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir

Collaborateurs et amis se sont réunis lundi au Studio Artv de la Place des Arts afin de rendre hommage à Michel Lemieux et à Victor Pilon, chantres de la multidisciplinarité.

L’année 2014 marque le 30e anniversaire de Lemieux Pilon 4D Art. Pour l’occasion, collaborateurs et amis se
sont réunis lundi au Studio Artv de la Place des Arts afin de rendre hommage à Michel Lemieux et à Victor
Pilon, chantres de la multidisciplinarité dont l’emploi du temps pour les prochains mois est d’ores et déjà
chargé.

En effet, Lemieux Pilon 4D Art brillera, heureux hasard, quatre fois plutôt qu’une. À la Cinquième Salle de la
Place des Arts, on fera revivre le spectacle Norman (2007), un hommage au pionnier de l’animation Norman
McLaren. Au Musée des beaux-arts de Montréal, on présentera une « oeuvre-installation rétrospective »,
laquelle lancera la programmation de la seconde Biennale internationale d’art numérique. « C’est un
labyrinthe onirique qui ramène des éléments de six de nos créations, dont La belle et la bête, qui deviennent
autant de portails.Il s’agit d’un parcours immersif, d’expliquer Michel Lemieux. Une petite salle connexe, plus
muséale, accueillera des croquis et des notes de production », de préciser Victor Pilon.

De son côté, Artv et Télé-Québec diffuseront au printemps un documentaire de Michel Barbeau, qui a suivi
Lemieux et Pilon pendant un an. « Ce ne sera ni une biographie ni un making-of, mais un mélange des deux,
et plus encore. Ce sera unique, à l’image du travail de Michel et Victor », a indiqué Marc St-Onge de la
maison de production Blimp Télé. Et c’est oublier le spectacle théâtral multimédia Icare, présentement à
l’affiche au Théâtre du Nouveau Monde.

L’importance d’être constant

« Trente ans, c’est l’occasion de faire un travail de mémoire. En exhumant des boîtes tout le matériel lié à
nos créations, de Solid Salad (1984) à Continuum (2013), on a réalisé à quel point elles partagent une
cohérence stylistique et thématique. Notre façon d’aborder le choc entre la réalité et la virtualité n’a pas
changé. À la fois, on évolue, et à la fois, on demeure les mêmes », confie Michel Lemieux.
« Les lieux sont multiples, qu’il s’agisse du Centre Bell, du TNM, de l’Opéra de Montréal ou du Planétarium, et
les publics aussi, mais notre désir à nous est toujours le même : celui d’émerveiller les gens en parlant de
choses qui nous touchent », ajoute Victor Pilon.
Quant à l’avenir, Lemieux Pilon 4D Art a confirmé préparer un ambitieux projet pour 2015 devant culminer en
2017 pour le 375e anniversaire de Montréal. « On parle d’une sorte de Moulin à images complètement éclaté,
encore là immersif, déployé dans le Vieux-Montréal et qui sera relié aux téléphones cellulaires, donc
interactif. Le dramaturge Michel Marc Bouchard, un féru d’histoire, collabore avec nous. »

mercredi 29 janvier 2014

Reportage sur les 30 ans sur Radio-Canada

Filmée pendant les dernières répétitions de leurs plus récentes créations, Icare, au Théâtre du Nouveau-Monde.
Interview par Maxence Bilodeau.



Vidéo sur le site de Radio-Canada

mardi 28 janvier 2014

Les 30 ans de 4D art: jardin des merveilles





PHOTO: ÉDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, LA PRESSE 

Michel Lemieux et Victor Pilon fêtent les 30 ans de leur compagnie 4D art.

LUC BOULANGER

Toujours très actifs


Depuis 30 ans, Michel Lemieux et Victor Pilon
proposent des spectacles hybrides alliant le réel
et le virtuel, en fusionnant les arts de la scène et
les nouveaux médias. Pour transcender les arts
vivants et la technologie moderne.
Michel Lemieux croit que le secret du succès de la compagnie qu'il
codirige avec Victor Pilon peut se résumer en un mot:
émerveillement. «Notre processus de création fait beaucoup appel
au potentiel d'émerveillement chez les spectateurs, dit-il. Pour
Victor et moi, la capacité de s'émerveiller et de rêver habite tout le
monde, depuis l'enfance. Nos spectacles sont comme une porte
ouverte sur cette enfance.»
À l'occasion du 30e anniversaire de leur compagnie, 4D art, les
créateurs multimédias Michel Lemieux et Victor Pilon ont rencontré
hier les médias. En compagnie de directeurs artistiques de trois
grands lieux culturels montréalais: Lorraine Pintal du TNM, Nathalie
Bondil du Musée des beaux-arts et Michel Gagnon de la Place des
Arts. Ils ont dévoilé une série d'activités qui se tiendront à Montréal.

Après Icare, qui est à l'affiche du Théâtre du Nouveau Monde
jusqu'au 8 février, ces «frères siamois de la culture» reprendront
leur spectacle hommage à Norman McLaren, à la Cinquième Salle
de la Place des Arts, du 27 mars au 12 avril. Cette reprise de
Norman s'inscrit dans le cadre du 100e anniversaire de la
naissance du regretté cinéaste de l'ONF.

Ensuite, les artistes auront carte blanche pour créer une installation
au Musée des beaux-arts, du 1er mai au 31 août. La directrice du
MBAM, Nathalie Bondil, estime que les créateurs retourneront «à
leurs origines» d'artistes visuels, en investissant l'espace du carré
contemporain du Musée. En effet, Lemieux et Pilon ont commencé
respectivement en performance et en photographie.
Pour clore les événements du 30e anniversaire, Blimp Télé produit
un documentaire qui suit durant une année le parcours créatif et la
collaboration particulière entre Lemieux et Pilon. Réalisé par Michel
Barbeau, le film sera diffusé sur les ondes d'ARTV et de
TéléQuébec. Il sera présenté en primeur au MBAM en mai
prochain.

Quatre événements marquants

Starmania, l'opéra (2009)

La version opératique de Starmania, produite par l'Opéra de
Montréal, a vu le jour 30 ans après la création du grand succès de
Luc Plamondon et Michel Berger, avec une scénographie et une
mise en scène remarquables. Des projections très efficaces sur
des écrans gigantesques qui permettent aux spectateurs de
voyager d'un univers spatio-temporel à l'autre.

Norman (2007)

Le tandem Lemieux-Pilon transpose en multimédia l'oeuvre du
grand cinéaste canadien Norman McLaren. La critique souligne
unanimement la réussite de l'entreprise. «Un spectacle ouvert,
accessible et enchanteur, que l'on connaisse l'oeuvre de McLaren
ou non», écrivait-on dans La Presse, lors de la création du
spectacle en 2007, à la Cinquième Salle. Le spectacle sera repris
au même endroit, du 27 mars au 12 avril. À voir.

La Tempête (2005)

Pour leur première production sur la scène du Théâtre du Nouveau Monde, les fondateurs de 4D
art s'associent avec la metteure en scène Denise Guilbault pour revisiter la dernière pièce de
Shakespeare. Personnages virtuels et réels se côtoient sur scène et font disparaître les
frontières entres les disciplines artistiques. «L'accostage multimédia est réussi», soulignait LaPresse.

Orféo (1998)

«Étonne-moi!», a dit jadis Serge Diaghilev à Jean Cocteau. En revisitant le mythe grec d'Orphée
et Eurydice, c'est exactement ce qu'ont fait Michel Lemieux et Victor Pilon. Ce spectacle
chorégraphique et technologique a aussi tourné en Amérique du Nord. «Virtuel et vertueux», titre, le Washington Post. «Visuellement, Orféo est sans aucun doute ce que j'ai vu de plus fort dans toute mon existence», lance le critique de La Presse.

Article sur le web!

Un univers théâtral éblouissant


Un univers théâtral éblouissant

Louise Bourbonnais
Samedi, 18 Janvier 2014, 21:55





Photo Courtoisie, Yves Renaud

Le mariage entre un conte vieux comme la démocratie et les nouvelles technologies est particulièrement bien réussi.
Magie, illusions et effets spéciaux, voilà qui résume bien, la nouvelle création, du duo Michel Lemieux et Victor Pilon. Le
pari qu’ils se sont lancé en reprenant le conte d’Icare, qui remonte à l’Antiquité grecque, en le transposant dans un
univers contemporain, voire futuriste, a été relevé avec brio. Un spectacle qui a manifestement ébloui les spectateurs du
TNM, le soir de la première, jeudi dernier.
Le spectacle est tout simplement renversant, tout l’espace étant occupé par un heureux mélange de réalisme où se superposent le
fantastique et l’imaginaire. Grâce à une technologie des plus sophistiquées, exploitant de façon avisée le multimédia, le décor se
transforme sous nos yeux d’un instant à l’autre, provoquant des moments riches en émotions.
Icare, personnage appartenant à la légende, fils de l’architecte athénien Dédale, est celui qui selon la mythologie grecque, serait mort
après avoir volé trop près du Soleil, faisaient fondre ses ailes faites de cire et de plumes que son père lui aurait fabriquées.
L’insouciance et la soif de liberté auraient eu raison de lui, le précipitant directement dans la mer Icarienne.

RELATION PÈRE-FILS

Si la mise en scène est spectaculaire, l’histoire elle est simple. Elle demeure néanmoins touchante. Il est principalement question d’un
père et de son fils qui souffrent tous les deux, n’arrivant pas à s’aimer tels qu’ils sont. Le père, de tempérament colérique, est
contrôlant envers son fils. Il souffre d’un manque de reconnaissance de la part d’Icare. Quant à ce dernier, il estime ne pas avoir été le
fils carriériste que son père aurait tant souhaité. Au final, il en résulte une rivalité père-fils dans un contexte de déceptions.
PERSONNAGES VIRTUELS

Outre les deux principaux personnages, Renaud Lacelle-Bourdon et Robert Lalonde, personnifiant Icare et son père Dédale,
accompagnés de la chanteuse mezzo-soprano Noëlla Huet, s’ajoutent à la distribution trois personnages virtuels, dont, notamment,
Pascale Buissière, qui incarne la mère décédée d’Icare.
Les effets spéciaux, où les personnages réels et virtuels arrivent à s’entrecroiser sur scène pour finalement se fondre littéralement
entre eux, ajoutent énormément à la magie du spectacle.
La finale de la pièce nous laisse complètement bouche bée devant les images grandioses et majestueuses qui se dessinent devant
nous.
Une très belle pièce pour redécouvrir le théâtre, traité différemment.

Icare sur Voir TV!



"Du pur bonbon"

"le TNM disparaît sous les projections de Lemieux et Pilon", 

"Des grands moments de beauté et d'émotions!", 

Christian Saint-Pierre, VOIR





Cliquez pour voir l'intégrale de l'émission

lundi 6 janvier 2014

Michel Lemieux et Victor Pilon collent leur magie au riche mythe d’Icare

   







Avant la chute
28 décembre 2013 | Christian Saint-Pierre | Théâtre

« Que l’on se souvienne de mon ascension fulgurante et non de ma descente funeste. Ne me tuez pas une seconde fois en me résumant à une chute. » C’est ainsi qu’Icare s’adresse à nous, avec les mots magnifiques d’Olivier Kemeid, dans le spectacle que Michel Lemieux et Victor Pilon s’apprêtent à dévoiler sur la scène du TNM. C’est ainsi donc que le jeune homme, incarné par Renaud Lacelle-Bourdon, insiste pour que nous gardions en mémoire sa vie bien plus que sa mort, autrement dit, que nous nous intéressions aux raisons qui l’ont incité à voler trop près du soleil, bien avant d’épiloguer sur les conséquences de son geste.

L’adaptation du mythe grec par les codirecteurs de 4D Art, une compagnie qui célèbre cette année 30 ans de création multimédia (voir l’encadré), est bien entendu contemporaine. Les mythes ne sont pas « de vieilles choses qu’on trouve dans des livres poussiéreux, estime Lemieux. Nos existences sont empreintes de mythes. Je dirais même qu’on peut lire nos vies au travers de ces histoires, qui sont encore parfaitement en phase avec notre époque. Comme quoi l’homme reste essentiellement le même. C’est la même chose pour le genre de théâtre qu’on fait. La technologie qu’on emploie, la magie qu’on convoque, toute moderne qu’elle soit, s’appuie sur des procédés séculaires, des méthodes vieilles comme le monde. »














Photo : Annik MH De Carufel - Le Devoir

Victor Pilon et Michel Lemieux s’attaquent à un mythe tout sauf poussiéreux avec Icare, au Théâtre du Nouveau Monde.

Dans le labyrinthe de sa mémoire

Dédale, le père d’Icare, est une ancienne vedette de l’architecture, un homme brisé, réfugié en pleine forêt, reclus, incapable de faire ses deuils, errant dans le labyrinthe de sa mémoire. L’action du spectacle se déroule pour ainsi dire dans sa tête. L’homme incarné par Robert Lalonde est hanté par son passé, si bien qu’il reçoit la visite de plusieurs entités, réelles et virtuelles : son fils (enfant et adulte), un ancien élève (Maxime Denommée), sa femme (Pascale Bussières) et un coryphée à la voix d’or (Noëlla Huet).

« Ce sont la mort récente de mon père, révèle Lemieux, et plus précisément les visions qu’il avait en fin de vie qui m’ont poussé à faire ce spectacle. Alors que Victor et moi créons des hallucinations depuis des années, être d’une certaine façon confronté à celles de mon père délirant, je vous jure que c’est une expérience très particulière. »

C’est à ce moment-là que le tandem décide de travailler sur la relation père-fils. Le mythe d’Icare était, pour ce faire, une matière toute désignée. « Ça nous permettait de parler de ces gestes que les enfants posent et que les parents considèrent comme déraisonnés, indique Lemieux. Il y a chez le fils un besoin fondamental, viscéral, pour ne pas dire naturel, de défier l’ordre établi, de rejeter les valeurs du passé. C’est l’un des aspects les plus intemporels de cette histoire. Outre l’insouciance de la jeunesse et le désir de se libérer du joug paternel, de tout ce que le père symbolise de conventions sociales et d’interdits, le mythe nous permet aussi d’aborder des sujets comme le pardon, la transmission, la réussite et la mémoire. »

« D’un point de vue formel, précise Victor Pilon, le mythe d’Icare cautionnait fortement la présence du virtuel. J’irais même jusqu’à dire que cette histoire appelait les fantômes. On tient toujours, Michel et moi, à ce que les projections vidéo soient essentielles, absolument nécessaires au récit. On n’a pas du tout envie de plaquer la technologie sur la représentation. Il faut qu’elle ait un sens profond. On est d’abord et avant tout là pour raconter une histoire, servir des personnages et des destins. »

30 ans à rêver sur les contours du virtuel

Déjà 30 ans que Michel Lemieux et Victor Pilon mélangent le théâtre, le cinéma, la danse, la musique et les arts visuels. En 1996, avec Grand Hôtel des étrangers, le tandem s’engage dans une voie nouvelle, une rencontre fascinante entre le réel et le virtuel. Suivront notamment Orfeo (1998), Anima (2002), La tempête (2005), Norman (2007) et La belle et la bête (2011). On compare les deux créateurs à des magiciens, à des illusionnistes, à des inventeurs scéniques. On loue ici et ailleurs leur imaginaire débridé et leur impressionnante maîtrise technique.

Pas question pour le tandem de célébrer ses 30 ans en s’assoyant sur ses lauriers. L’agenda est déjà rempli jusqu’en 2017.

Norman, leur vibrant hommage au cinéaste Norman McLaren, sera de retour 
à la Cinquième Salle de la Place des Arts à la fin mars.

Continuum, le poème cosmique sur des musiques de Philip Glass, est toujours à l’affiche du Planétarium de Montréal.

Cité mémoire, une installation créée en complicité avec Michel Marc Bouchard, sera inaugurée en 2015 et verra son aboutissement à l’occasion du 375e anniversaire de la ville de Montréal.


À la fin avril, au moment même où un documentaire sur la compagnie sera diffusé par ARTV, Michel Lemieux et Victor Pilon feront leur entrée au Musée des beaux-arts de Montréal. Rien de moins. « Nathalie Bondil nous a invités à déplacer notre art visuel de la scène au musée, explique Pilon. On a décidé de concevoir une installation qui revient sur nos 30 ans de création. Les visiteurs vont passer cinq minutes dans chacun des spectacles. Il y aura des projections, des décors, de la musique et des personnages virtuels. Ce sera comme un labyrinthe de petits poèmes immersifs. On souhaite que ce soit une expérience, même pour ceux qui n’ont pas vu les spectacles. »

vendredi 6 décembre 2013

Les billets pour Norman sont en vente!

Place à l'inspiration depuis 50 ANS !
  • Cinquième Salle du  27 mars au 12 avril 2014

Description

(Re)découvrez l'univers de Norman McLaren!
Véritable hommage au pionnier du cinéma d'animation qu’est Norman McLaren, ce spectacle, créé en collaboration avec le danseur et chorégraphe Peter Trosztmer, propose un plongeon dans l'univers artistique éclaté et ludique de McLaren. Grâce à leur langage visuel sans pareil,  Michel Lemieux et Victor Pilon offrent un voyage initiatique au cœur du mouvement, de l'abstraction et de l'humanisme qui traversent les films du cinéaste.
Une présentation de Lemieux Pilon 4DART et de la Place des Arts
Une création de Michel Lemieux, Victor Pilon et Peter Trosztmer
En collaboration avec l’Office National du Film du Canada

Tarif jeunesse 30 ans et moins.
Spectacle présenté en français. Les extraits en anglais comportent des surtitres en français.
Pour plus d’information sur Lemieux Pilon 4DART : 4dart.com

Pour acheter les billets, cliquez ici




































mardi 3 décembre 2013

Le spectacle ONE récompensé par Themed Entertainment Association!



This live entertainment spectacle represents an electrifying achievement for Cirque du Soleil, who have found a new creative recipe for today’s electic, media-centered audiences. In ONE they’ve fused Cirque’s traditional energy with the iconic power of the King of Pop. The two make a perfect marriage; Michael was a longtime fan of Cirque’s magic, and many of his musical themes lend themselves to eclectic spectacle.


Michael Jackson: ONE dazzles at every turn, alternating between multisensory overload and lingering poetry. The show’s creators have deconstructed Michael Jackson into his essential components, both physical and emotional. A single white glove… a fedora hat… a pair of sparkle-spatted shoes… each becomes a springboard to a segment of the show that grows from that single artifact into a mind-blowing series of images. Jackson’s eternal themes find physical expression as well: the healing of Love… the power of Belief… the glory of Unity… these grand ideas combine with Michael’s iconic visuals to remind us of his essential goodness and eternal optimism, even in the face of unspoken sorrows and a life lived in the camera’s glare.


Innovative? Yes. The show introduces a number of first-time performance technologies, including a crazy acrobatic performed on neon green elastic straps, and a manic number in which performers hurl themselves belly-first to the stage floor, then to spring high into the air like crickets. Mapped projection certainly isn’t new, but ONE kicks it into warp drive, wrapping the entire stage, proscenium and theater walls in a dizzying barrage of images that adroitly capture the essence of each song. 


And while Michael himself is present throughout the show via multiscreen projection and clever costume references, when the moment finally comes (as it must) for The Gloved One to appear in a holographic-style Pepper’s Ghost illusion, it’s done with such lyrical elegance and musical precision that Michael becomes a golden sparkling spirit, blessing the show’s dancers with his magic.

vendredi 29 novembre 2013

Lemieux et Pilon au Musée des Beaux Arts de Montréal en 2014



Publié le 28 novembre 2013 à 08h48

Opulente programmation 2014 au Musée des beaux-arts

Le Musée des beaux-arts de Montréal fête le... (Photo: Marco Campanozzi, La Presse)

Le Musée des beaux-arts de Montréal fête le 50e anniversaire... du Musée d'art contemporain de Montréal (MACM). Pour le lancement de la saison 2014, le directeur du MACM, John Zeppetelli, est venu à la rencontre de la directrice du MBAM, Nathalie Bondil.
Photo: Marco Campanozzi, La Presse
Le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) poursuivra en 2014 cette période faste qui le caractérise depuis six ans avec des expositions d'envergure internationale ainsi que des découvertes plus ciblées. Le début de cette année 2014 opulente sera marqué par une solide incursion dans l'art contemporain européen et nord-américain.
L'événement de 2014 au Musée des beaux-arts sera sans nul doute l'exposition consacrée à Peter Doig, Nulle terre étrangère, du 25 janvier au 4 mai.
D'origine écossaise et ayant vécu une partie de sa jeunesse à Montréal, Peter Doig est à 54 ans l'un des artistes vivants les plus estimés des grands collectionneurs. En février dernier, une de ses toiles a été vendue à Londres pour 12 millions.
L'exposition montréalaise, la première d'une telle importance à être organisée en Amérique du Nord, présentera des oeuvres qu'il a créées à Trinidad depuis une dizaine d'années.
L'art contemporain sera encore à l'honneur avec la célébration, par le MBAM, du 50e anniversaire... du Musée d'art contemporain de Montréal (MACM).
En effet, les deux musées s'associent pour présenter, rue Sherbrooke, leur première exposition conjointe, Quand les collections du MBAM et du MACM conversent, une sélection - deux par deux - d'oeuvres contemporaines parmi les 8000 que possède le MACM et les 6000 du MABM.

Place à Jules de Balincourt
Vernie hier soir, l'exposition de l'artiste d'art contemporain franco-américain Jules de Balincourt se poursuivra jusqu'au 6 avril dans le Carré d'art contemporain du MBAM, avec une sélection d'oeuvres de cet artiste de 41 ans collectionné par de grands musées des États-Unis.
L'été 2014 verra l'arrivée d'une exposition de la collection Fabergé du Virginia Museum of Fine Arts de Richmond, soit 240 objets luxueux dont les fameux oeufs de Pâques de la famille des tsars Romanov de Russie.
À l'automne, le MBAM collaborera avec le musée Kunsthaus de Zürich et le Los Angeles County Museum pour présenter De Van Gogh... à Kandinsky: l'expressionnisme allemand et la France, 1900-1914, une exposition «exceptionnelle».
«Au niveau assurance des oeuvres prêtées, c'est du jamais vu au Musée», a expliqué, hier, Nathalie Bondil, directrice et conservatrice en chef du MBAM.

Carte blanche à Pilon et Lemieux
Le musée donnera également carte blanche aux artistes Michel Lemieux et Victor Pilon, du 30 avril au 31 août, dans le cadre de la Biennale internationale d'art numérique.
Il s'agira d'une installation immersive soulignant le 30e anniversaire de la compagnie Lemieux Pilon 4D Art.

Puis, le musée présentera, du 23 septembre au 18 janvier, la première rétrospective consacrée à la peintre montréalaise Marion Wagschal, grande artiste figurative qui a formé nombre de plasticiens à l'Université Concordia.
Enfin, les amateurs d'Andy Warhol pourront admirer, d'octobre 2014 à mars 2015, une trentaine d'affiches du prince du pop art appartenant à la collection de Paul Maréchal.
À noter que l'exposition La planète mode de Jean Paul Gaultier, produite par le musée, continue d'être présentée ailleurs dans le monde.
Après New York jusqu'en février 2014, elle se rendra à Londres en avril, puis à Melbourne en octobre. Elle atteindra d'ici quelques semaines le million de visiteurs, un record mondial pour une exposition sur la mode.

mardi 19 novembre 2013

La Belle et la Bête» se défendra au festival Next Wave à New York



Michel Lemieux et Victor Pilon sont heureux d’annoncer que leur spectacle a été sélectionné au prestigieux festival Next Wave organisé par la réputée Académie de musique de Brooklyn (Brooklyn Academy of Music - BAM) à New York. C’est la deuxième fois que Lemieux et Pilon y sont invités (ils y avaient joué La Tempête en 2006) et il présenteront les 21, 22 et 23 novembre prochains «La Belle et la Bête» dans le Howard Gilman Opera House.
Fondé en 1861, le BAM (Brooklyn Academy of Music) est aujourd’hui une institution culturelle reconnue mondialement grâce à Next Wave, son festival annuel. Spécialisé dans la diffusion de spectacles modernes et d’avant-garde en théâtre, en musique, en danse contemporaine et moderne, le BAM programme des artistes américains et internationaux très connus ou des artistes émergents. Parmi les artistes attitrés de la BAM, on peut citer Philip Glass, Peter Brook, Laurie Anderson, Nusrat Fateh Ali Khan, Robert Lepage et Robert Wilson.
La Belle et la Bête est une mise en scène de Michel Lemieux et Victor Pilon sur un texte de Pierre-Yves Lemieux, traduit par Maureen Labonté. Les représentations mettront en vedette Janine Theriault (La Belle), Diane D’Aquila (La Dame) et Vincent Leclerc (La Bête). Anne-Marie Cadieux (la Sœur) et Peter James (le Démon de la Dame) apparaitront virtuellement. Le spectacle a déjà été présenté avec succès à Toronto, Boston, Paris et dans six villes de France ainsi qu’Taipei et à Daijong.
Depuis 1983, Michel Lemieux et Victor Pilon unissent leurs talents de créateurs et de metteurs en scène au sein de Lemieux Pilon 4D Art qu’ils ont. Reconnus comme des chefs de file internationaux, Lemieux et Pilon créent des spectacles hybrides fusionnant le réel et le virtuel dans un alliage unique des arts de la scène et des nouveaux médias. Leurs spectacles ont été vus sur tous les continents. Parmi ceux-ci mentionnons La Belle et la Bête, Norman, La Tempête, Orféo, et Anima. De plus, le tandem Lemieux Pilon a également conçu et mis en scène Delirium, avec le Cirque du Soleil et leur mise en scène fort remarquée de Starmania Opéra, a joué à guichets fermés à l'Opéra de Québec et de Montréal. Ce sont eux qui ont conçu et réalisé les projections qui sont offerte au nouveau Planétarium de Montréal inauguré en 2013. Lemieux Pilon 4D Art bénéficie du soutien du Conseil des arts et des lettres du Québec, du Conseil des Arts du Canada et du Conseil Arts de Montréal.

5 Questions for Janine Thériault of La Belle et la Bête


mercredi 16 octobre 2013

Prépapier sur La Belle et la Bête dans le China Post.






Arts &Leisure

'La Belle et la Bete' cast excited for Taipei show

By Joy Lee ,The China Post
October 16, 2013, 12:11 am TWN

TAIPEI, Taiwan -- The cast and crew of the upcoming performance of “La Belle et la Bete” (Beauty and the Beast) yesterday talked about the excitement of coming to Taipei to perform at the National Theater Concert Hall between Oct. 18-20.
Powell, Motown Records' chief of charm, dies
Storyteller Diane D'Aquila performs in “La Belle et la Bete” in this undated photo. (Courtesy of Yves Renaud)


In reworking this classic tale, renowned drama producers Michel Lemieux and Victor Pilon utilized cutting-edge holographic technology to create a virtual reality on stage.

Diane D'Aquila, who plays the storyteller in the show, said that the space of the National Theater Concert Hall is a perfect place for the performance.
“I have played in some huge opera houses in Europe, and we have some large theaters in Canada,” said D'Aquila. “But this one (the National Theater), it took my breath away. It's an extraordinary building.”
Isabelle Painchard, the assistant director of the show, said that the house not only just looks good, but the show will be presented beautifully in the theater.
“We all feel privileged to play in here,” said Vincent Leclerc, the actor who plays the Beast in the show.
Janine Theriault, who plays Belle in the performance, also said that audiences in Taiwan can expect a different version of “Beauty and the Beast,” compared to the Disney version of the story.
“We have taken this story and set it in something between the timelessness and commentary, so a lot of the topics are much more modern compared to other versions of the story,” said Theriault.
The cast also talked about the difficulties in adapting to the visual style of the show, which involves strikingly realistic holograms.
“A lot of my scenes are virtual scenes, which is a quite new experience for me. The challenge primarily is that we do not see the images that the audiences see at all ... so it is very much about memorizing where you are and the space and the relationship to what's going on around me,” Theriault said.
“Most of the plays are about the actors and the playground where they can do whatever they want to do in there. When you do cinema or TV, the actor is one part of the puzzle because you have sounds, coloring, and editing. And this show is like a cinema, the actor is just one part of the results along with projections, the virtual characters, and the sounds,” Leclerc said.
The cast hopes audiences will come to the show to experience the wonder of this reinvention of theater, as well as enjoy a classic story with a modern twist.
The event sponsors will hold a conference at Noise Kitchen at 3 p.m. this coming Saturday, with Taipei Arts Festival director Yi-Wei Keng joining the discussion.

jeudi 19 septembre 2013

La Belle et la Bête en route pour l'Asie!


Après une brillante tournée française de sept villes, La Belle et la Bête sera en tournée en Asie!

La tournée débutera à in Daejon en Corée du Sud, au Culture et Art Center, avec deux représentations le 6 et 7 octobre.

Le spectacle sera ensuite à Taipei, à Taiwan, au National Chiang-Kai shek avec cinq représenations du 18 au 20 octobre 2013.

Voici la bande-annonce en mandarin:





mardi 9 juillet 2013

Cirque du Soleil: Un 10 à One




Véronique Lauzon







(Las Vegas) Un nouveau spectacle du Cirque du Soleil prend l'affiche sur la Strip, Michael Jackson OneUn vibrant hommage au roi de la pop, mais surtout, une des grandes réussites de la compagnie québécoise. Samedi soir à la première mondiale, le spectacle était stupéfiant et à la hauteur du talent de Michael Jackson.





Le Cirque du Soleil continue d'être roi et maître à Las Vegas. AvecMichael Jackson One, Guy Laliberté prouve que les heures de gloire de son entreprise sont loin d'être terminées.
C'est une expérience immersive qui attend les spectateurs au théâtre du Mandalay Bay Resort and Casino. Avec d'immenses écrans géants de chaque côté de la scène et des milliers de haut-parleurs - y compris dans les sièges -, difficile de ne pas plonger tête première dans cette création.
L'expérience sonore est à ce point réussie que le spectateur a parfois l'impression que les gens crient et chantent autour de lui, alors qu'il s'agit seulement de la trame sonore. De plus, les artistes font régulièrement des apparitions à côté et au-dessus des spectateurs. Il neigera même sur le public.
Puisqu'il y a beaucoup de chorégraphies dans la plus récente mise en scène de Jamie King (Madonna, Britney Spears, Rihanna), les amateurs de numéros de cirque ne seront peut-être pas rassasiés. Par contre, les admirateurs de Michael ressortiront avec un immense sourire aux lèvres.

Le retour du roi
One est composé de 22 tableaux, en majorité des chansons qui se sont retrouvées numéro 1 dans les classements des ventes. Sur les écrans géants, des vidéoclips, des photos et des vidéos de Michael Jackson accompagnent pratiquement toujours les 61 danseurs et acrobates.
Sur la chanson Bad, le personnage Clumsy est maladroit et incapable de réaliser des prouesses sur une sangle élastique double. C'est alors que les souliers étincelants de Michael Jackson apparaissent sur scène. La magie va opérer - comme lorsque le roi de la pop les enfilait pour danser - et l'acrobate en mettra plein la vue.

Quant aux fameuses lunettes fumées de Michael Jackson, elles permettront à une femme svelte et délicate de gagner un combat d'arts martiaux contre plusieurs méchants personnages.
Le chapeau et le gant magiques seront aussi au centre de numéros spectaculaires, entre autres pour Billie Jean. C'est alors que le spectacle est à son apogée. Dans ce dernier tiers de la représentation, les spectateurs chantent, tapent des mains et lancent des «wow» devant toute l'ingéniosité des tableaux. Pas étonnant que ces numéros se terminent sous un tonnerre d'applaudissements.

Et que dire du numéro Man in the Mirror, où Michael Jackson reprend vie sous nos yeux? Grâce à un procédé technologique extrêmement efficace, il danse réellement avec dix autres artistes. Impossible de détacher nos yeux de lui. Frissons garantis.

Ce numéro touchant est suivi de la grande finale Black and White où explosent les couleurs et la magie grâce aux costumes, aux jeux de lumières, aux acrobaties et à la chorégraphie.
La critique n'avait pas été conquise par Michael Jackson The Immortal World Tour, la première création du Cirque du Soleil mettant en vedette le roi de la pop. Avec One, la compagnie québécoise se reprend largement.



jeudi 4 juillet 2013

Pour le dernier spectale du Cirque du Soleil, ONE, Michel Lemieux et Victor Pilon créent le numéro "Man in The Mirror"

Jean Sia





La rumeur entourant le nouveau spectacle permanent du Cirque du Soleil à Las Vegas, Michael Jackson One, est positive, a constaté La Presse. Le Las Vegas Sun a publié récemment un compte rendu fort élogieux du spectacle, dont la série d'avant-premières a débuté le 23 mai dernier dans sa nouvelle résidence, à l'hôtel Mandalay Bay Resort.
Le spectacle mis en scène par le chorégraphe Jamie King, qui a également conçu le spectacle de tournée Michael Jackson: The Immortal World Tour (créé à Montréal en octobre 2011), doit officiellement être lancé le 29 juin en présence des médias. Ce qui n'a pas empêché le Sun de commenter le spectacle maintenant ouvert au public.
Le journaliste Robin Leach qualifie Michael Jackson One de «triomphe». «Sans l'ombre d'un doute, le plus spectaculaire des shows du Cirque. [...] Une expérience immersive fascinante. Un spectacle qui se passe partout dans le théâtre, sur le plafond, dans les allées et même sur les murs de côté!»
Dans son résumé des meilleurs moments du spectacle, le journaliste vétéran du Las Vegas Sun s'émerveille devant le numéro construit sur la pièce The Man in the Mirror où l'hologramme de Michael Jackson apparaît sur la scène, dansant avec les autres membres de la troupe.
«Brillant! Sans doute les meilleurs effets spéciaux jamais créés pour le théâtre, écrit-il. C'est émouvant parce que c'est tellement proche de la réalité. Michael est la vedette du spectacle qu'il aurait aimé voir ou auquel il aurait aimé participer. Un spectacle qui fait revivre le génie créatif de Michael.»
Ce numéro a été conçu par nul autre que Victor Pilon et Michel Lemieux, apprend-on sur le site web du Cirque du Soleil.

Le tandem Pilon-Lemieux, qui a créé les pièces La belle et la bête, Norman (en hommage au cinéaste canadien Norman McLaren) et La tempête, de Shakespeare, en est à sa troisième collaboration avec le Cirque du Soleil. Il a conçu les spectacles Delirium et Midnight Sun pour les 20e et 25e anniversaires du Cirque.
Si l'on se fie aux commentaires publiés sur Twitter depuis le 23 mai, le numéro d'environ 10 minutes, programmé vers la fin du spectacle de 1h30, est l'un des moments marquants de la pièce.

«Au-delà de la perfection»
Robin Leach souligne la présence accrue de Michael Jackson dans des vidéos projetées pendant le spectacle, notamment sur la pièce Smile. «Les montages audio et vidéo vont au-delà de la perfection», indique-t-il. Lors de la première du spectacle de tournée, de nombreux observateurs ont justement estimé que l'absence de MJ se faisait sentir.
Malgré tout, The Immortal Tour demeure l'un des spectacles les plus rentables du Cirque avec des revenus de près de 150 millions depuis sa création.

Numéros marquants
Parmi les autres numéros marquants de Michael Jackson One, Robin Leach mentionne le numéro de bungee dans Beat It, la performance du contorsionniste Charles Riley, les danseurs de breakdance dans Bad, le numéro de trampoline dans Thriller et le ballet aérien dans I Can't Stop Loving You.
«Le Cirque du Soleil vient de rehausser la barre du divertissement, écrit enfin Robin Leach. Maintenant, les producteurs devront revoir leurs autres spectacles présentés à Vegas pour les amener au même niveau.» Michael Jackson One est le huitième spectacle permanent du Cirque du Soleil à Vegas.

 

mercredi 29 mai 2013

Première New-Yorkaise pour la Belle et la Bête au Brooklyn Academy of Music en novembre 2013!


Lemieux Pilon 4D art sera de retour au BAM (Brooklyn Academy of Music) avec La Belle et la Bête au Howard Gilman Opera House du 21 au 23 novembre 2013.
La compagnie y a déjà présenté en 2006, toujours au Festival Next Wave, son adaptation de La Tempête de William Shakespeare.

L’édition 2013 du Festival Next Wave se tiendra du 17 septembre au 22 décembre et mettra en lumière 34 opéras, du théâtre, de la musique.
Joseph V. Melillo, le Producteur Exécutif du BAM : « Cet automne, nous offrons à notre public un riche assortiment de travaux exceptionnels et originaux d’artistes américains et internationaux, incluant les débutants du BAM. »

La Belle et la Bête jouera au BAM Howard Gilman Opera House (30 Lafayette Ave) 

21—23 nov à 19:30 
Billets: $20, 30, 40, 50 (semaine); $25, 35, 50, 60 (fin de semaine)

Regardez la bande-annonce du festival!

mercredi 8 mai 2013

Photos officielles de la décoration de Michel Lemieux et Victor Pilon à Rideau Hall à Ottawa



Michel Lemieux et Victor Pilon, investis à titre d’Officiers de l'Ordre du Canada, lors d’une cérémonie à Rideau Hall, le 3 mai 2013. Ils sont accompagnés de Son Excellence le très honorable David Johnston, gouverneur général du Canada.

Mention de source : Sgt Ronald Duchesne, Rideau Hall
© Bureau du secrétaire du gouverneur général (2013) 

lundi 15 avril 2013

L'Université d'Ottawa, fière de l'un de ses anciens élèves, Victor Pilon.





Victor Pilon au sommet de son art

Victor Pilon appartient à la première génération d’artistes multidisciplinaires. Ce diplômé de l'Université d'Ottawa a été récemment nommé Officier de l'Ordre du Canada.

par CHARLES ROUSSEAU


Victor Pilon

Photo: Des archives personnelles de Victor Pilon.

« Le programme de photographie duquel je suis issu, l’un des meilleurs au pays, puise sa force indéniable dans la passion et le talent de ses professeurs. »

—Victor Pilon

Créateur avant-gardiste dont les œuvres contribuent à établir la réputation internationale des Québécois et des Canadiens dans le domaine des arts, Victor Pilon s’intéresse autant aux arts visuels qu’aux arts de la scène.
Diplômé de l’Université d’Ottawa (B.A.V. 1982 et B.A. en photographie 1983), Victor Pilon appartient à la première génération d’artistes multidisciplinaires : il est directeur, scénographe, concepteur visuel et photographe, et il travaille sur des pièces de théâtre ainsi que sur des événements publics d’envergure.
Pour lui, tout a commencé à l’Université d’Ottawa. « Je garde un très bon souvenir de l’Université d’Ottawa. Pour moi, ce qui fait la renommée d’une université, ce sont les professeurs qui y enseignent. Le programme de photographie duquel je suis issu, l’un des meilleurs au pays, puise sa force indéniable dans la passion et le talent de ses professeurs. J’ai beaucoup apprécié mon cheminement dans ce programme bilingue, et il va sans dire que l’engagement et la forte présence des professeurs francophones dans les milieux artistiques de Montréal m’ont permis de bien me préparer à affronter le monde artistique une fois mes études terminées. J’ai eu le grand privilège d’avoir comme professeurs et mentors Charles Gagnon, Peter Gnass, Evergon, Pénélope Cousineau, Edmund Allen, Michel Goulet, Louise Poissant et bien d’autres. Leur dévouement et leurs conseils éclairés m’ont permis de devenir l’artiste que je suis aujourd’hui. »
Victor Pilon a été le photographe officiel de la famille royale au Canada pendant près de 20 ans et a reçu la médaille de l’Ordre royal de Victoria (R.V.M.) de la part de Sa Majesté la Reine Élizabeth II en 1994, en reconnaissance de services rendus à la famille royale. En 1990, il s’est joint à l’équipe 4D art de Michel Lemieux comme concepteur et codirecteur artistique. Depuis, il a créé plus d’une trentaine de productions scéniques d’avant-garde, dont La Belle et la Bête et La Tempête (Théâtre du Nouveau Monde, Montréal), Starmania Opéra de Luc Plamondon (Opéra de Montréal et Opéra de Québec), et Delirium etSoleil de minuit (Cirque du Soleil). Il a également conçu de grands événements publics pour le Festival International de Jazz de Montréal et pour le festival Montréal en Lumiére. Tant par la qualité et le professionnalisme de ses spectacles que par l’universalité des thèmes qu’il aborde, Victor Pilon arrive à traduire en images et en mouvements des émotions qui rejoignent et touchent les spectateurs.
Le 30 décembre 2012, le gouverneur général du Canada, son Excellence le très honorable David Johnston, a nommé Victor Pilon, Officier de l’Ordre du Canada « pour ses contributions aux arts de la scène au Canada et à l'étranger, en tant que directeur, designer, photographe et artiste multidisciplinaire d’avant-garde ».